Fédération Nationale des Retraités de la Gendarmerie-Section de Gaillac

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FNRG


Courriers administrateurs et présidents..........

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08/02/2024
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courrier du trésorier général

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18/10/2023
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Le mot du Président

Pour qui sonne le glas – Avenir et Gendarmerie n°124 – Novembre 2018

 

Après les mesures prises depuis plus d’un an à l’encontre des retraités, nous pouvons nous poser cette question inspirée par le roman d’Ernest Hemingway : « Pour qui sonne le glas » ? Les réponses apportées par nos dirigeants sont intolérables et ne peuvent que susciter l’incompréhension et la polémique. Lors des ses bains de foule, le président de la République est fréquemment interpellé par des retraités sur les sujets récurrents qui les préoccupent. Il estime que si les Français ne se plaignaient pas, le Pays se porterait mieux. Nous ne pouvons que lui répondre que si les projets du Gouvernement n’avaient pas d’impact sur leur pouvoir d’achat, ils ne se plaindraient pas ! Alors qu’il est conscient que le taux actuel moyen de l’inflation est de 2,3%, le Premier ministre annonce le 26 août dernier que la hausse des pensions de retraite se limitera à 0,3% pour 2019 et 2020. C’est vraiment se moquer du monde !

Depuis plusieurs années, nos dirigeants ne savent plus quoi inventer pour diminuer notre pouvoir d’achat : application de la taxe discriminatoire de 0,30% sur les pensions de retraite plus connue sous le terme de CSG, contribution à la réduction de la dette sociale (CRDS), suppression de la demi-part des veuves, contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (CASA), fiscalisation de la majoration pour enfants. L’augmentation des cotisations des mutuelles complémentaires, des prix du gaz, de l’électricité, des péages autoroutiers, du carburant, etc. ont naturellement une conséquence sur notre pouvoir d’achat. La diminution de la taxe d’habitation sur une période de trois ans jusqu’à sa suppression complète aura forcément un effet sur notre pouvoir d’achat mais temporairement. Il se pourrait bien que la taxe foncière augmente. On parle de la suppression de cette taxe pour les personnes disposant d’un revenu annuel modeste et de l’augmentation des prestations du régime ARCO-AGIRC. Soyons prudents et comme saint Thomas, croyons uniquement ce que nous voyons.

Nous devons défendre le régime particulier pour campagnes des militaires de la gendarmerie et notre système de retraite applicable aux militaires. Ce n’est pas gagné mais nous pouvons malheureusement constater que le projet du Haut Commissaire chargé d’établir le nouveau système des retraités est actuellement du domaine du flou artistique. Il ne faut surtout pas que les militaires soient assimilés aux fonctionnaires. Nous sommes actuellement environ 16 millions de retraités. Nous avons un impact politique certain. Soyons un peu utopiques, si nous étions tous unis, pendant 6 moins, nous devrions retirer nos économies de la Caisse d’Épargne, ne plus voyager, ne plus aller au spectacle, ne plus acheter de vêtements, ne plus emprunter les autoroutes à péage. Cela aurait forcément un impact sur la mise en recouvrement de la TVA et sur le financement du logement social.

Ainsi la question : « pour qui sonne le glas ? » applicable aux retraités pourrait aussi s’appliquer au Gouvernement ! Dans le cadre de l’Entente Gendarmerie, nous devons en permanence exprimer les préoccupations des retraités aux pouvoirs publics, même si nous avons l’impression parfois que nous ne sommes pas écoutés. Rappelons aux politiques que pour les prochains scrutins, nous avons un outil de premier choix, le bulletin de vote. Souvenons-nous ces deux devises : « l’union fait la force » et « ne pas subir ». Cependant, il faut être positif comme David Ogilvy : « Encourager l’innovation. Le changement est notre force vitale, la stagnation notre glas ! »

 

Jean-Claude Fontaine, Président national


09/10/2019
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Les présidents

 

1907 : Eugène Charrier en fut le premier président. La Fédération était alors la seule association de défense corporative de la Gendarmerie. Elle était accessible à toutes les veuves et à tous les retraités quel que soit leur grade.

1910 : Au congrès qui eut lieu cette année là, Eugène Charrier suggéra que le poste de président fut occupé par un membre habitant la région parisienne. Guyard fut nommé président et occupera le poste pendant deux années. Le capitaine Paoli, fondateur de la Caisse Nationale du Gendarme, qui a suivi et encouragé la création de la FNRG (ce qui est une démonstration flagrante du caractère social de la FNRG) fut nommé président d’honneur.

1912 : Guyard, malade, fut remplacé par Madeleine qui devait assurer les fonctions de président jusqu’en 1937.
1937 : À cette date, Madeleine fut remplacé par Pons qui mourut subitement en 1946.
1946 : Au congrès de la même année, Delage, directeur du Progrès, fut élu président. Cousteix, candidat au comité exécutif de la Fédération (actuellement conseil d’administration) ne fut pas élu. De dépit, sans doute blessé dans son amour propre, il se livra à une opposition systématique. Il s’en suivit une scission qui donna naissance à une autre association, l’UNPRG (Union Nationale du Personnel en Retraite de la Gendarmerie) dont il devait devenir le secrétaire général.
1962 : Delage démissionna en 1962 au congrès de Nantes pour raisons de santé. Quelques jours après sa démission, eut lieu à Nantes une réunion au cours de laquelle Pierre Bonnaud président de la section de la Loire Atlantique fut élu président de la Fédération.
1973 : Agé de 83 ans, le président Bonnaud démissionna pour raisons de santé et fut remplacé par René Baille, ancien adjudant-chef de la Garde républicaine.
1979 : Au congrès, le président Baille ne se représenta pas. Marc Martin, adjudant-chef de gendarmerie, président de la section du Pas-de-Calais, fut élu président.

© FNRG – Marc Martin – Roland Méthais – André Polet.
© FNRG – Marc Martin – Roland Méthais – André Polet.

1993 : Le 11 novembre 1993, le président Marc Martin décéda suite à une longue maladie. La présidence provisoire fut assurée par Roland Methais, président national adjoint.
1994 : Lors du congrès, André Pollet est élu président.
2002 : Au congrès de Anglet, le président Pollet ne se représente pas pour raison de santé. Pierre Verdier, président de la section des Bouches-du-Rhône est élu président national de la FNRG.
2006 : Au 90e congrès national de Nantes (congrès du centenaire de la FNRG), Pierre Verdier est réélu à l’unanimité.

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© FNRG – Pierre Verdier – Jean-Claude Fontaine.

2013 : Au 93e congrès national de la FNRG qui s’est déroulé à Rochefort (17), Jean-Claude Fontaine, président de la section FNRG de la Seine-Maritime, est élu président national de la FNRG.


09/10/2019
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Le siège de la FNRG est désormais à Vincennes

 

Après 11 années passées au 25 rue Sacrot à Saint-Mandé, le siège de la Fédération nationale des Retraités de la Gendarmerie a emménagé au 36 avenue du Général de Gaulle à Vincennes. Nos bureaux sont juste en face du château de Vincennes.


09/10/2019
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Présentation

 

Régie par la loi 1901 et inscrite au Journal Officiel sous le N° W751013812, la Fédération Nationale des Retraités de la Gendarmerie est la doyenne des associations corporatives de gendarmerie.

Depuis sa création en 1906 et par son mot d’ordre « Servir », la FNRG s’est assignée pour objectif la défense des intérêts des personnels de la gendarmerie, retraités, de leurs veuves et orphelins. Elle est représentée par des sections départementales réparties sur les régions administratives du territoire national et Outre-Mer. Selon ses statuts, elle se compose des membres ressortissants de toutes les subdivisions de la Gendarmerie nationale, retraitées, retraités, épouses et époux de retraités, veuves et veufs de retraités, des personnels du corps de soutien, des personnels en activité de service, des personnels de réserve, du personnel ayant servi sous contrat dans la gendarmerie, des personnels civils de la défense employés par la gendarmerie et des membres bienfaiteurs.

Elle a pour but :
• de coordonner les actions des sections affiliées, en vue de la défense des intérêts moraux et matériels des personnels de la Gendarmerie Nationale, en particulier lorsque l’existence, l’éthique ou l’action de la Gendarmerie sont gravement mises en cause ;
• de maintenir avec l’attachement des ses membres à la Gendarmerie et le sentiment de leur unité, la conscience du rôle social de l’association : caisse recours, participation aux œuvres de la Gendarmerie ;
• de répartir, après examen de la commission concernée et avis du Bureau National, les dons destinés par leurs auteurs aux œuvres sociales de la Fédération, répartition pouvant notamment se traduire par des aides pécuniaires immédiates et justifiées ;
• et de mettre en œuvre tous moyens nécessaires à la réalisation de cet objet.

La FNRG est partenaire de la FCD (Fédération des Clubs de la Défense). A ce titre, elle associe son image par le biais de son journal corporatif Avenir et Gendarmerie à certaines manifestations ou événements organisés par les CSLG (Clubs Sportifs et de Loisirs de la Gendarmerie) et permet un véritable rapprochement entre les actifs et retraités de la corporation. La FNRG est citée comme étant le phare des associations de Gendarmerie du même type. À ce titre elle jouit d’une considération particulière et attentive de la part des différentes autorités avec lesquelles elle entretient des relations étroites et privilégiées. La FNRG est reçue dans de nombreux ministères et siège dans des organismes dépendant du ministère de la Défense (Conseil Permanent des Retraités Militaires, Conseil Supérieur de la Fonction Militaire et l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre où elle occupe un poste dans une commission aux invalides). Elle participe en conséquence à l’élaboration de textes réglementaires ou dispositions nouvelles qui concernent tant les militaires actifs que les anciens combattants dont un certain nombre sont des retraités de la Gendarmerie. Elle adhère à la Confédération Nationale des Retraités (CNR), qui par ce biais, suit l’évolution des dispositions gouvernementales concernant les retraites des fonctionnaires et elle participe aux travaux qui traitent de la vieillesse (suivi et aide aux personnes dépendantes). La FNRG entretient des relations suivies avec la Caisse Nationale Militaire de Sécurité Sociale ainsi qu’avec la Caisse Nationale du Gendarme et l’UNEO, Mutuelles de la Gendarmerie (organismes au sein desquels elle dispose de nombreux délégués). Elle occupe un siège au conseil d’administration de la Fondation de la Maison de la Gendarmerie. L’action de la FNRG peut donc être conduite soit de façon indépendante, soit en commun au sein d’un Comité de Coordination des Associations de Gendarmerie (CCAG). Ce comité est composé des présidents de plusieurs associations AMFFG (familles), ANORGEND (réserves), CFARVG (confédération française des retraités), FNRG, les Amis de la Gendarmerie (ex SNAAG) et Trèfle. Le CCAG est reçu périodiquement par le directeur général de la Gendarmerie, les responsables du budget de la Défense à l’Assemblée Nationale et au Sénat, ou dans bien d’autres commissions parlementaires. Les avis des différentes associations sont le plus souvent entendus et permettent d’aboutir à des résultats non négligeables. Ainsi, la Fédération Nationale des Retraités de la Gendarmerie dispose de moyens nombreux et efficaces pour exposer les points de vue de ses adhérents, les défendre et provoquer l’amélioration de leur condition.
Rassembler, Unir et Défendre, telle est la volonté inébranlable de la FNRG.


09/10/2019
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Historique

La FNRG est la plus ancienne association corporative de gendarmerie régie par la loi 1901. Elle a été créée en 1906 par le Gendarme (ER) Eugène Charrier, qui avait servi aux brigades de Nantes (44), et qui avait lancé l’idée d’un rassemblement en mettant en place un comité corporatif. La loi de 1901 était récente et peu de gens la connaissaient. Eugène Charrier prit contact avec de nombreux retraités de la gendarmerie.

Cette initiative porta rapidement ses fruits puisque le 13 novembre 1907, les délégués de 85 comités, dont certains venus d’Algérie, se réunissaient en congrès à Paris (75). Le maréchal des logis-chef (e.r) Madeleine soumit, lors du congrès, un projet tendant à placer tous les comités existants ou en voie de formation sous une direction unique en vue de coordonner les efforts de tous. Ce projet fut adopté et ainsi est née la Fédération Nationale des Retraités de la Gendarmerie. Au cours de cette assemblée, les premiers statuts de la Fédération furent élaborés. Sa création est le résultat d’un projet de statuts présentés lors de ce congrès et tendant à placer tous les comités existants, ou en cours de formation, sous une direction unique destinée à coordonner les efforts de tous. Ce projet fut adopté à l’unanimité. La FNRG apparut sur le devant de la scène et c’était une première pour la corporation. Sa création a d’ailleurs été encouragée et soutenue par le Capitaine Paoli, fondateur de la Caisse Nationale du Gendarme (CNG). À l’époque, la situation morale et matérielle des personnels de la Gendarmerie était loin d’être satisfaisante. Les soldes, comme les pensions, étaient modestes, la discipline sévère et les règlements interprétés et appliqués strictement, quand ce n’était pas abusivement. Le grand mérite du créateur de la Fédération et de ses collaborateurs fut bien de l’avoir compris lors de ce congrès et d’avoir inclus dans les statuts, au cours des premières assises nationales, le rôle de l’association qui se donnait pour but principal; l’amélioration morale et matérielle des conditions de vie des personnels de la gendarmerie en activité ou en retraite.


09/10/2019
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Historique de notre Section

HISTORIQUE DE LA SECTION

 

 

La Fédération Nationale des Retraités de la Gendarmerie est la première des associations de retraités de la Gendarmerie. Elle est créée en 1907 par le gendarme en retraite Eugène CHARRIER qui, dès 1906, avait lancé l'idée du rassemblement en mettant en place un comité, à Nantes. 

La Loi de 1901 était toute proche et peu de gens la connaissait. Profitant de ces dispositions légales pour mettre en place un groupement à caractère revendicatif, il prend contact, par correspondance, avec de nombreux retraités de l'Arme. Ainsi, le 13 novembre 1907, 85 délégués se réunissent en congrès à Paris et la FNRG apparaît ce jour-là sur le devant de la scène revendicative et c'était une première.

 

Avant la création de la section FNRG , il existe à Gaillac, et seulement au plan local, une amicale des veuves et retraités de la Gendarmerie. Elle a été créée par le chef d'escadron LAURENS Joseph, retraité de l'Arme. Le président de cette amicale était M. FIFIS Robert.

 

La section FNRG  Gaillac est créée le 6 avril 1967, parue au Journal Officiel sous le n° 2248. Aujourd'hui, elle est inscrite sous le n° W,811003648

 

La section possède son  drapeau. La remise officielle a eu lieu le 18 juin 1972.

 

Les présidents :

  • M. BESSET Régis : du 6 avril 1967 au 18 juin 1972.
  • M. PECHALI Robert : du 19 juin 1972 au 25 septembre 1983.
  • M. BEL Gaston : du 26 septembre 1983 au 22 septembre 2004
  • M. DOUREL Alain : depuis le 22 septembre 2004.

 Les porte-drapeau :

  • M. FLOUTTARD René.
  • M. FOULQUIER Clément.
  • M. TORRIJOS Louis.

 

Au 31décembre 2015, la section comprend 130 adhérents(es).(12 adhésions recueillies en 2015)

  • - Retraités : 62 dont 5 + 85ans
    - Veuves : 19 dont 11 + 80 ans
    - Epouses : 37
    - Sympathisants : 12

18/02/2014
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